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Quand j’ai compris ce qu’est ma liberté…

Nous sommes tous régit par des envies et des désirs, une des choses qui différencie c’est ce que l’on fait pour quitter le désir pour finalement obtenir ce que l’on veut. Acquérir ma liberté, c’est ce que je voulais et je l’ai eu…

Au début, le commencement…

Dans la vie, il y a un début, un milieu et une fin et pour faire en sorte que cette fin soit la meilleure possible il faut réussir son départ pour ne pas galérer au milieu. Comme un marathon de la vie en quelques sorte. La clé n’est pas de sprinter dès le début, mais de trouver une vitesse de croisière stable pour ne pas se planter.

Le problème est qu’on est tous, à un moment donné ou à un autre, sujet à des freins qui nous forcent à ralentir.

Moi, adolescent, j’étais rêveur, comme pas mal d’ados vous me direz et j’avais un rêve bien précis, celui d’aller vivre un jour aux États-Unis.

Pendant des années je me suis renseigné et renseigné sur les démarches, conditions et tout ce qu’il faut en me rendant compte avec le temps que c’est loin d’être évident de partir vivre au pays de l’Oncle Sam. Mon meilleur ami partageait, bien entendu, la même envie sur le sujet, ce qui motivait encore plus.

Quand on est jeune, mineur, on se repose sur le fait que «  Je suis mineur, je ne peux rien décider par moi-même à ce niveau « , mais quand on devient majeur, on se dit  » Je voudrais le faire mais on me met la pression | Il faut que je travaille | Il me faut de l’argent | Il me faut des diplômes « , bref, on est conditionné dans le moule commun et plus le temps passe et plus on se trouvera des excuses pour remiser nos rêves et nos plans géniaux afin qu’un jour, par miracle, ça nous tombe dans le bec…

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On commence comme ça pour la plupart des gens, mais arrivé à un certain point, pour ma part, j’ai eu le déclic !

Libéré, Délivré, je ne stagnerais plus jamais…

Oui, bon, j’ai osé reprendre cette chanson. J’assume !

Quand ce déclic est arrivé, j’ai eu une sorte de double effet KissCool. Cette poussée d’adrénaline qui dit  » Ça y’est, je vais le faire  » et l’autre qui vient te taper sur l’épaule et te dit «  Euh, au fait, comment tu vas le faire, tu ne sais même pas par ou commencer ?  »

Bon, je vous l’avoue après le déclic qui est survenu sur une colline très sèche du sud de Tenerife, en tong et avec un GoPro dans la main (cf.vidéo du dessous), j’ai passé pas mal de temps à chercher le maximum d’information pour me lancer à l’assaut de l’Australie.

Le fait est que même si on ne sait pas comment on va le faire, c’est que quand on ressens ce rush de liberté en soi, on ressent aussi de la motivation à agir enfin et on n’est pas prêt à s’arrêter dans notre lancée.

Bref, moi, je suis parti à Brisbane, Queensland, en survolant l’Europe et l’Asie pour la première fois, en faisant escale à Singapour je ressentais déjà un renouveau dans ma vie et l’adrénaline de l’aventure.

Enfin débarrassé d’un travail et d’une vie en France, j’étais libre et je pouvais commencer à tout recommencer.

Au cours de ce processus de changement, je me suis rendu compte que l’argent, qui est le nerf de la guerre, on l’entend partout, est loin de faire le bonheur mais certains diront qu’il y contribue. Eh bien, je dirais à ceux-là, tout dépend de tes attentes et de tes envies.
Certes, il faut de l’argent pour voyager, un minimum, mais ne vous focalisez pas là-dessus.

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Un montant élevé d’argent ne garantira pas un bonheur plus grand.

Aujourd’hui, je ne suis plus en Australie, mais ce que cette liberté à fait pour moi, c’est que j’ai osé dire oui à un tas de choses et même si je n’ai jamais été du genre timide ou réservé, j’ai ouvert mon esprit et mon corps à un tas de possibilité et je pars du principe que si je le veux, je le peux et que rien ni personne ne pourra me stopper.

Je peux enfin dire que je suis heureux avec moi-même, en accord avec mes principes. Je désire encore un tas de choses mais je fais en sorte de les acquérir ou de les faire et croyez-moi, je n’échangerais pour rien au monde ma liberté.